lundi 24 juin 2013

You can never hold back spring

J'aime pas qu'on me touche, j'aime pas qu'on me presse, j'aime pas que m'effleure, j'aime pas qu'on m'approche, j'aime pas qu'on me froisse, j'aime pas qu'on m'érafle, j'aime pas qu'on m'encercle, j'aime pas qu'on me colle, j'aime pas qu'on m'enlace, j'aime pas qu'on m'...

Les gens bourrés savent pas se dire au-revoir, et ce soir (ce matin), alors qu'elle mettaient trois heures à se saluer en s'empoignant avec affection, l'autre m'a rappelé cette autre fois où on avait discuté parce qu'il était demi bourré et moi pas du tout. J'étais tellement triste ce soir-là, j'avais l'impression d'être un creux et j'avais essayé de me remplir avec des shooters et des gâteaux. A la fin, il avait lancé ce film et s'était endormi devant. Moi, sur le canapé défoncé j'avais comaté en essayant de ne pas penser mais c'était dur. Alors je serrais Gustav Gustavovitch Gustavov (l'ours qu'elles m'avaient refilé pour mon anniv'... c'était une fête pour mon anniv') comme un bébé. Oh, c'était pas grand chose, je m'étais juste salement fait botter l'égo, ça arrive. Mais leur présence et leurs biscuits et leurs bêtises de bourrées avaient été tellement essentielles. Dans le bus au retour, le lendemain, je me trimbalais l'ours géant. Une vieille m'a complimenté dessus, j'ai répondu, elle s'est vexée, je sais plus pourquoi. Ensuite, j'ai pleuré contre la vitre en cachant ma tête avec ma main. J'avais la musique de ce film devant lequel j'avais comaté toute la nuit en tête. Une longue nuit. Jamais un film ne m'avait semblé aussi interminable. Les restes du gâteau d'anniversaire ont duré trois/quatre jours supplémentaires.


C'est un peu un article sans queue ni tête là. Des trucs saisis au vol que je jugerai dérisoires et superficiels dans quelques temps. Je me sens un peu écœurée de moi cette nuit, en fait. Ca va passer. Je me tiens occupée mais pour le moment, je patine un peu. J'ai terriblement envie que quelque chose d'extraordinaire se passe mais techniquement, un tas de trucs extraordinaires m'arrivent (pas extraordinaires comme gagner au loto mais quand même extraordinaires) et au final, je n'en tire aucun apaisement. Je sais bien que l'apaisement n'existe pas et que même si j'étais connue comme Michael Jackson, ça ne me guérirait pas de ma terrible soif, n'empêche, je rêve. Peut-être que la moi de maintenant détesterait la moi que je serai devenue si un jour, je trouvais l'apaisement.

Sinon, j'écris ici et là.

jeudi 20 juin 2013

Récapitulatif : Game of Thrones saison 3 épisode 10

Une semaine et demi après la bataille et en noir et blanc avec ma sale écriture manuscrite...
Mais je l'ai FAIT !
(Nonobstant, au début de l'épisode je m'étais préparée un sandwich et j'ai eu du mal à l'avaler. Me rappelle plus ce qui m'a tant dégoûtée, j'ai dû occulter)


Nonobstant, deux fanarts grave cool de the Hound et Arya (je veux la scène du burrito dans la prochaine saison si elle existe) : http://corseque.tumblr.com/post/43984527403

mardi 4 juin 2013

La Marcheuse des Dunes

Bon bah j'ai publié un truc... Fin j'avais eu des fanzines avant mais là c'est une vraie édition (même si elle est numérique ! C'est pas du compte d'auteur et je touche pas mes droits après 100 ventes...) et tu peux acheter mon truc ici. (Pas cher pas cher bouquin pas cher)

Qu'est-ce que c'est que ce truc ?

Note : Je l'avais déjà évoqué :

Contexte : 

La marcheuse des dunes, ça a été un bouquin thérapie au sortir de la prépa. Le truc qui m'a permis (avec le théâtre) de rebondir après l'échec de ma colloc, le semi échec de ma prépa et les concours foirés ou mal passés (comme avec cette grognasse qui avait l'accent de Cristina et qui m'a dit : MA CHEURRI TOU ES PAS FEMINISTE QUAND TOU PLEURES !!).

C'est une reprise du premier roman achevé que j'ai rédigé (mais entre le premier roman et la reprise j'ai écrit d'autres trucs). J'étais en troisième et ça s'appelait à la base Les Cinq Clés de la Raison (ma mère préfère ce titre... elle est psychiatre). La première version de ce texte avait été écrit dans un contexte similaire de flottement, de déracinement. Le collège avait été un long cauchemar et je voyais le bout de mon tunnel d'étrons. Ca allait mieux et en même temps, c'était la première fois que j'étais saisie aussi violemment par cette douce amertume désillusionnée : le sentiment de la fin. Je crois que c'est ce qu'on retrouve principalement dans ce texte, le sentiment de la fin.

La seconde version est donc également imprégnée de ce sentiment de fin : fin de prépa, début de la vraie vie en solo puisque la colloc n'était jamais là, et puis l'achèvement de notre travail de théâtre...


Inspirations :

Deux playlists durant l'écriture de la marcheuse : les plus grands hits d'America :



Et Grim Fandango : 


Aussi je citais Jacques Demy dedans avant (et pis j'ai enlevé les citations sur le conseil de Tchoucky)


Ca tournait en boucle. Sinon, la première version du texte est imprégnée de La Rivière qui coule à l'envers : Tomek et Hannah de JC Mourlevat, de très très très très beaux livres. (dans la deuxième version, j'ai eu une réminiscence malgré moi du passage des nomades du deuxième tome... m'en suis rendue compte à la relecture de Hannah... mais bon, le passage est plus ou moins un trope et je le traite différemment... Fin je suis pas une auteur qui considère les concepts comme plus importants que le traitement o_o) La deuxième version du texte, j'étais plongée dans THE découverte de l'année : La dernière Licorne de Peter S Beagle. Les deux livres offrent une approche moderne et poétique de motifs de contes. C'est beau et inventif et ça devient même parfois (surtout pour le second) très profond tout en restant un bel hommage. Je recommande.
Sinon je m'inspire évidemment énormément de contes (russes notamment). Si certains lecteurs ont rapproché le tout de Narnia ou le Château de Hurle (j'ai plus apprécié la seconde comparaison que la première ahah) c'est parce que les deux piochent aussi dans le même répertoire je pense. On mange au même râtelier. 

(L'époque où mon scanner et Photoshop fonctionnaient...)


Ecriture

Je suis du genre à tout le temps tester les limites de mon "style" (si tant est que j'en ai un) à chercher de nouvelles manières d'écrire, de nouveaux tons à adopter. Pour La Marcheuse des Dunes, j'ai vraiment épuré au maximum. Je voulais des images brutes, des sensations pures et quelque chose de vraiment très très simple. Ca peut être un défaut (la camarade Cha n'aime pas beaucoup) mais c'était à tenter.

Pour la construction, je suis partie sans trop savoir ce que j'écrivais. C'est un roman d'apprentissage/conte philosophique (le philosophique a été ajouté par Cha et ma Moman) je crois. Je facilité pas le chemin du lecteur sur certains trucs, tout est dit mais c'est très dense, un jour je retravaillerai peut-être ça (on ne finit pas un roman, on le laisse). J'ai essayé d'éviter au maximum les poncifs et de contourner les clichés mais comme je pars du conte, ce n'est pas si simple. J'espère que je les aurai au moins un peu "détournés" comme Peter S Beagle (mon héros).

Ce qui est amusant à posteriori, c'est que ça partait d'une écriture vraiment irréfléchie (la version de ma troisième) et que j'ai vraiment du mal à prendre du recul vis à vis de ce texte comme je le fais maintenant avec les romans que je travaille aujourd'hui. Ce que je sais c'est que beaucoup d'éléments me tiennent vraiment à cœur mais ce n'est pas aussi réfléchi que ce que je produis actuellement. La moi intérieure du passé et la moi réfléchi d'aujourd'hui s'apprécient mais ne se comprennent plus si bien.

La première version était une quête toute simple avec des objets à chercher et des passages obligés. Dans cette version là, je me suis sentie obligée de flouter les repères de la quête. Ça en a déstabilisé certains, je crois mais c'était un véritable exercice et j'en suis assez contente. 

L'héroïne, Estelle, et ses diverses transformations


Sinon ça parle de quoi plus prosaïquement ?

Le début sonne vraiment con....

Estelle est une marcheuse et les marcheurs tournent en rond dans le désert sans se parler ni échanger. Un jour, un fennec parle à la jeune fille et la mène au magicien Lif qui lui explique qu'elle doit partir en quête pour libérer son peuple de son propre envoûtement.

Oui, Estelle s'en rend compte d'ailleurs que c'est un peu bêta : un fennec lui parle... et voilà. Bon, sinon ça part d'un genre de nulle-part (mon ex m'avait dit : le début est déprimant mais tu construis vraiment quelque chose à partir de rien. Il n'avait accepté de le lire qu'une fois terminé ahah), l'héroïne n'a pas de famille, carrément pas de milieu social, des origines bizarres et assez peu de caractéristiques mais elle est probablement un de mes personnages préférés (et j'ai crée une FOULE de personnages, vraiment) sans doute parce qu'elle est vraiment positive et aussi à cause de cette absence d'à-priori.

Donc notre héroïne, Estelle, est une marcheuse et elle est accompagnée dans sa quête par un fennec bavard et bravache, un petit cheval bossu mélancolique puis un marchand doué mais peu sûr de lui et son âne aux yeux doux.

Durant sa quête, elle passe par un désert, un palais fabuleux où règne une femme trop belle pour être vraie, une montagne meurtrière où se promène une étrange isba à pattes de poule, des landes éthérées où les bandits volent les souvenirs et les identités sous la coupe d'un magicien aux airs d'enfant malade, une forêt sombre et sauvage où les hommes sont des intrus, une cité aérienne à la hiérarchie étouffante, une ville joyeuse pleine de sorcières de passages...
Ouais... ça fait un peu "liste" mais... voilà ce que je peux dire.

Bises à toi si tu jettes un œil, triple bises si tu achètes le bouquin (bave en prime).

Sinon ce texte a été refusé par 4 maisons d'édition (oui, j'ai seulement envoyé à 4, ça coûte cher d'imprimer un manuscrit !)

lundi 3 juin 2013

Récapitulatif : Game of Thrones saison 3 épisode 9

Hello hello, quoi de beau dans GoT cette semaine ?
Attention du gros Spoil  !
(Nonobstant je m'excuse pour la qualité d'illus qui va baissant... il se trouve que je suis aussi privée d'appareil photo en plus du scanner, de photoshop et de la tablette en moins et que mon caméscope est à chier pour les photows)

Alors, l'épisode est plutôt... pas calme du tout, pas moins de trois grosses castagnes et ça pète de partout. Mais pas de torture cette semaine YOUHOU ! Lève les bras ! Néanmoins on n'est pas dans Love is all pour autant :

L'écoute de cette chanson avant ou après le visionnage de cet épisode de GoT est fortement recommandée.

On se focalise majoritairement sur les Stark/Snow mais on a tout de même une partie Daenerys et l'ombre des Lannister plane sur l'ensemble de l'intrigue.

Commençons par Daenerys qui inclut le chevalier Duckface à sa team de winners et ce dernier faisant son possible pour attirer son attention, Jorah et Barristan jouent les jaloux, forcément.


Finalement, la ville est prise d'assaut, grosse castagne (fort cool avec toutes les armes et styles mélangés... Naginata Powa) et pseudo suspens : le chevalier Duckface est-il mort... eh bah non...
Youpi.

Maintenant que c'est expédié, on a aussi une chtite scène Sam Gamgee/Gilly et leurs échanges sont vraiment rafraîchissants. Ils vont ENFIN passer par delà le mur et Gilly en est bien contente après une vie cloîtrée dans un harem de consanguines, on la comprend. Sam... parle et parle et parle et parle mais Gilly apprécie pour le moment et c'est plutôt chou ! Apprendre des choses en regardant des signes sur du papier, c'est vrai que c'est un peu magique, on l'oublie trop !

Sinon, groupe du Nord : deuxième castagne entre Jon Snow et les sauvageons après que l'affreux Warg ait voulu obliger Jon a tuer un autre Crow ce que le jeune homme s'avère incapable de faire. Aidé à distance par son frère Bran qui téléguide les loups (vi entretemps il est arrivé à son niveau) il finit par s'enfuir à cheval, laissant Ygritte derrière lui.
Pauvre Ygritte... T'es vraiment con Jon.

Sinon donc, Bran, le warg vampire blond et sa soeur classe qui tire à l'arc, Hodor le pokémon (bah issait dire que son nom) Nymphadora Tonks et le frangin Stark transparent sont donc arrivé dans le Ch'nord et vue quyovait d'grain, y ch'chont planqués dan jone ch'tour (bon Ok j'arrête, j'ai de la famille nordiste mais même à l'écrit j'arrive pas à imiter un Ch'ti) au pied de laquelle la deuxième castagne a eu lieu. (les biloutes!) Ils ont d'ailleurs manqué de se faire repérer à cause d'Hodor en pleine crise de panique avec la tempête :

Stop Hodoring!

Mais bon, comme ça a terminé en big castagne, ya pas de mal. D'autant plus que Bran a momentanément anéanti Hodor en le possédant à la Warg... sauf que les Warg ne sont censés posséder que les animaux...
TINTINTIN
(oui, j'utilise ce truc TOUT LE TEMPS mais il marche à CHAQUE FOIS)

Bref, ça renforce Bran dans sa conviction : il DOIT aller chercher la corneille radioactive à trois yeux de l'autre côté du mur. Comme c'est trop dangereux, le groupe se sépare et Nymphad'asha Tonks part avec le frangin qui sert à rien ce qui offre quand même une scène d'adieu très émouvante.

Nonobstant le frangin a l'air incapable de fermer la bouche : Kristen Stewarsite aiguë auraient diagnostiqué certains.

Tout ça pour dire... AVANT de passer à la parte qui fâche, introduisons le toutim avec le duo le plus épic du monde, et non, ce n'est pas l'ours et la pucelle (the bear and the maiden fair), non, c'est le limier et la... heu... et Arya Stark !
On a de très très très très très chouettes échanges entre eux. Ces deux personnages sont complètement décalés et beaucoup plus semblables qu'ils ne le pensent sans doute (à la Jaime/Brienne... en ENCORE plus sombre) du coup on aurait limite des recettes de comédies romantiques pour commencer et ça fonctionne du feu de dieu parce qu'ils sont tout sauf des protagonistes de comédie romantique. Moi je dis : GG ! Encore deux personnages improbables mais Badass qui, associés deviennent encore plus improbables et Badass... Sisi c'est possible.





Nonobstant, Arya Stark a même l'outrecuidance de traiter le Hound de fillette à cause de sa peur du feu... suis-je la seule à avoir aussitôt imaginé ça :


BREF on va vraiment passer à la partie qui fâche puisque, petit à petit, Arya se rapproche des jumeaux : le double château des Frey où se déroule le mariage de l'oncle Edmure avec une des nombreuses pucelles à marier d'Argus Rusard rebaptisé : Dégueulasse Ier dans Game of Thrones (et Eternal Law d'ailleurs, une série avec Tobias/Edmure où il joue un dégueulasse du même style)... Et, à la fin de l'épisode, Arya assiste donc au désastre car désastre il y a...

Et, avant tout désastre qui tue une part non négligeable du casting, évidemment, on passe l'épisode à nous rendre les personnages attachant.
Commençons par Robb qui se réconcilie enfin avec sa Maman et reconnaît qu'il a aussi merdé : notamment en ne l'écoutant pas lorsqu'elle lui a dit de ne pas envoyer Theon sur les îles de Fer. MERCI !
Ensuite, la femme de Robb est rendue sympathique parce qu'elle est complètement agressée par ce con de Dégueulasse Ier qui lui ordonne de s'approcher de lui pour la mater sans vergogne et la gratifier de commentaires aimables.






Et pis aussi, elle dit à son mari qu'elle a un petit Ned Stark dans son ventre et c'est trop choupitrognon ohlàlà (sérieux arrêtez d'appeler vos enfants avec des noms hommages, ça devient ridicule : après Renesmée et Albus Severys, voici Ned II)
Et on a encore le Running gag du roulage de pelle Robb/femme exotique et hop Catelyn Stark qui finit par apparaître dans le champ avec un regard désapprobateur.



On recycle de vieilles images mais à part la coiffure, rien ne change (Catelyn a les cheveux détachés cette fois).

Blackfish alias oncle Brutos est aussi rendu un peu plus sympathique. Enfin, ya un passage assez WTF... j'ai pas compris où il fait un signe à une meuf dans la foule et la fille glousse... Est-ce que ça a une importance ou c'est comme la brillante anecdote de Podrick et sa bite magique ? Question.
*Regard complice*

*huhuhu*


Menfin, après, il déclare à Catelyn qu'il aime (awww) son con de neveu Edmure (les dieux aiment récompenser les demeurés)... même si ça reste un con... On le comprend, Edmure fair un certain nombre de tête d'imbécile durant cet épisode

Ouais... ma vie est nulle... je dois épouser une fille qui sera peut-être même pas belle !
Attends... il était sérieux en parlant de nous donner des jumelles à épouser ?
Mmh... ça laisse à réfléchir.
Poussez-vous que je voie si yen a pas une potable dans le lot !
Ttfaçon c'est trozinjuste !
... O_O
Mais en fait elle est bonnarde !


(Suspens insoutenable : sa fiancée sera-t-elle bonarde, suspens mon fondement oui ! Dans GoT la série, même les filles qu'on est censés trouver moches sont bonnardes T_T... Je suis sûre que même Olenna Tyrell est sexy sous sa robe !)



*Essaie pour voir !*
(même si Olenna s'est qualifiée elle-même de flapie deux ou trois épisodes plus tôt)

Donc finalement il est bien content, sa fiancée est bonnarde et a l'air bien neuneu.

(Mais la scène du serment était trop choupinarde je fonds et Tobias Menzies a un profil si fabuleuuux)

Pour respecter la "tradition" tout le monde finit par adjoindre les nouveaux mariés de rejoindre leur petit lit.... Et... bah la fête peut commencer quoi. (ET EVIDEMMENT PAS DE SCENE DE CUL AVEC TOBIAS MENZIES... On voit à peu près tout le monde sexer dans Rome sauf lui et... bah Idem avec GoT. Youpi. )

*A Wedding needs a Bedding*

Entre deux, on a une anecdote assez immonde sur Lord Bolton qui a pas l'air d'un trop chic type décidément : le gus raconte que Frey lui avait offert d'épouser une de ses fille et qu'il aurait son poids en argent comme dot. Du coup, sa femme est jeune et grosse.

Et ensuite... eh bah... trahison de Dégueulasse Ier annoncée magistralement par l'orchestre qui se met à jouer la chanson des Lannister. On en aurait des frissons tellement, dans le contexte, ça amène sa dose de miquettes ! Robb se fait tuer, sa femme se fait tuer de la manière la plus immonde choquante et racoleuse qui soit (au final, elle n'aura vraiment été qu'un enjeu et aura servi à amener Robb à sa perte, merci traitement des femmes, Anita Sarkeesian (avec qui je suis pas toujours d'accord mais qui offre une bonne base) dirait qu'on a là un hybride d'Eve tentatrice et de Femme dans le frigo... on me souffle dans l'oreillette que c'est pas tout à fait pareil dans le livre... est-ce que c'est mieux ?). Ceci dit, Catelyn a vraiment un grand moment même si j'aurai pas imaginé qu'elle tue la femme de Frey qui n'a rien fait pour mériter ça au final (surtout que son mari réagit en disant : "bah tue la, j'en épouserai une autre")... C'est filmé assez sobrement mais ça marche très bien. Vraiment... belle fin d'épisode qui repose aussi beaucoup sur le jeu de Michelle Fairley qui, à mon sens, reste très sobre et digne malgré le côté mélodramatique. Bluffant.

Sinon le mariage a été l'occasion de revoir le fils Frey sosie du père Blaise dans Kaamelott :
Ouais... c'est la croix et la bannière pour faire une capture décente.

Nonobstant... J'aurai PRESQUE posté le récap le jour même, à dix minutes près !